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Marketing Digital

Nov 23 2025

Formation Social Selling de Emmanuelle Petiau

La Formation Social Selling de Emmanuelle Petiau un incontournable

Le contexte actuel du social selling

  • Le social selling est devenu un pilier incontournable de la prospection moderne : la majorité des décideurs préfèrent être contactés via LinkedIn plutôt que par téléphone ou email froid.
  • Les prospects ont changé de comportement : ils cherchent des preuves de crédibilité AVANT d’accepter un rendez-vous, d’où l’importance d’un profil optimisé.
  • Les méthodes commerciales traditionnelles ne suffisent plus : trop intrusives, trop génériques, trop « forceur », elles créent de la méfiance au lieu de l’intérêt.
  • LinkedIn est saturé de profils et de contenus moyens : sans stratégie, votre visibilité s’effondre au milieu du bruit algorithmique.
  • Les professionnels manquent de structure : beaucoup publient au hasard, sans cohérence, sans objectifs mesurables, ce qui les décourage rapidement.
  • Les résultats sur LinkedIn deviennent exponentiels uniquement si la stratégie contenu + prospection + positionnement est alignée.
  • Le social selling exige méthode, régularité et maîtrise technique : ce n’est plus un « plus », c’est une compétence commerciale fondamentale.

Pourquoi se former plutôt qu’apprendre seul

  • Apprendre seul conduit à des mois de tests inefficaces : les erreurs typiques (profil mal optimisé, mauvais messages, contenu peu engageant) bloquent toute progression.
  • Une formation fait gagner plusieurs mois : elle vous donne directement les bonnes pratiques validées par l’expérience terrain.
  • Une experte identifie immédiatement les éléments qui cassent votre crédibilité : accroche faible, bannière hors-sujet, info trop floue, absence de preuves.
  • Structurer sa prospection est difficile sans accompagnement : segmentation, filtres, séquences de messages… tout cela demande une vraie méthode.
  • La formation permet une cohérence stratégique : positionnement du profil, types de contenus, ton de communication, messages privés → tout est aligné vers le même objectif.
  • Vous bénéficiez d’un retour constructif et personnalisé : impossible à obtenir avec des tutos YouTube ou des articles génériques.
  • Les entreprises qui réussissent sur LinkedIn sont systématiquement passées par une formation : elles ont industrialisé leur démarche.

Ce qui distingue la formation d’Emmanuelle Petiau

  • Expertise reconnue de LinkedIn : Emmanuelle est une spécialiste du social selling utilisée par des entreprises, dirigeants et équipes commerciales.
  • Approche pragmatique : pas de théorie inutile, tout est orienté action et application directe.
  • Audit complet de votre profil : analyse des points faibles, suggestions, corrections argumentées.
  • Méthode structurée : fondamentaux du profil → stratégie contenu → prospection → conversions → suivi des KPI.
  • Adaptation au marché B2B : style, ton, formats de contenus et messages adaptés aux acheteurs professionnels.
  • Exercices pratiques intégrés : chaque participant optimise réellement son profil en direct, crée des messages d’approche, identifie ses prospects cibles.
  • Résultats mesurables : vous pouvez suivre précisément votre évolution via votre SSI, vos vues, vos interactions, vos conversations entrantes.

Le programme de la formation

Format & déroulé pédagogique

  • Audit initial : analyse de votre profil LinkedIn, de votre positionnement, de votre activité actuelle et de vos objectifs commerciaux.
  • Séances courtes et dynamiques : alternance théorie + mise en pratique immédiate pour intégrer les méthodes.
  • Travail sur votre profil en direct : optimisation de l’accroche, de la photo, de la bannière, de la section “Infos”.
  • Ateliers concrets : exercice d’écriture de posts, création de séquences de messages privés, recherche de prospects via filtres avancés.
  • Support de cours fourni : modèles, exemples, templates, checklists et bonnes pratiques.
  • Feedbacks individualisés : corrections adaptées à chaque secteur d’activité.
  • Plan d’actions final : feuille de route pour continuer pendant 30, 60 et 90 jours après la formation.

Les 4 piliers de la méthode

Pilier 1 : Optimisation du profil LinkedIn

  • Travail sur le positionnement : clarifier à qui vous vous adressez et ce que vous apportez.
  • Optimisation du titre : intégrer mots-clés + valeur + spécialité pour ressortir dans la recherche LinkedIn.
  • Construction d’une bannière professionnelle : visuel qui transmet votre activité, votre promesse et votre sérieux.
  • Réécriture de la section Infos : storytelling orienté client, bénéfices concrets, preuves de résultats.
  • Mise en avant des expériences : orientée résultats, non tâches administratives.
  • Ajout de preuves sociales : recommandations, documents, études de cas, publications.
  • Impact attendu : profil perçu comme expert → augmentation des vues, du taux d’acceptation et des conversations entrantes.


Pilier 2 : Stratégie de contenu

  • Définition de vos 3 à 5 piliers éditoriaux : expertise, coulisses, avis, méthodologie, preuve sociale.
  • Savoir quel type de contenus favorise la portée : carrousels, posts courts, storytelling, analyses, messages conversationnels.
  • Création d’un calendrier éditorial : fréquence minimale pour rester visible dans l’algorithme.
  • Conception de posts structurés : hook fort, argument clair, CTA pertinent.
  • Transformation de vos idées en contenus impactants : exemples, analogies, chiffres, démonstrations.
  • Recyclage intelligent des contenus : adapter un post → une vidéo → un visuel → un commentaire pertinent.
  • Objectif : devenir visible, crédible, identifiable comme une référence dans son domaine.

Pilier 3 : Prospection efficace

  • Recherche avancée de prospects : segmentation par industrie, rôle, niveau, taille d’entreprise.
  • Utilisation intelligente des filtres LinkedIn : préciser la cible, exclure les profils inactifs, repérer les décideurs.
  • Écriture de messages d’approche personnalisés : concis, non agressifs, orientés valeur.
  • Création de scénarios de suivi : relances courtes, naturelles, créatrices de conversation.
  • Gestion des conversations : transformer un simple échange en opportunité commerciale réelle.
  • Comprendre les signaux d’intérêt : interactions, likes, visites de profil.
  • Objectif : construire un pipeline commercial sain, sans spam, sans automatisation massive, mais avec efficacité.

Pilier 4 : Analyse & optimisation

  • Lire le Social Selling Index : comprendre les 4 critères et comment les améliorer.
  • Suivi hebdomadaire des KPI : vues, invitations, conversations, posts performants.
  • Analyse des contenus : repérer les formats qui vous donnent le plus de portée ou d’engagement.
  • Ajustements continus : modifier accroche, contenu, rythme, cibles.
  • Mise en place de bonnes pratiques à long terme : automatiser certaines routines sans perte de qualité.
  • Objectif : progresser semaine après semaine, de manière mesurable et structurée.

À qui s’adresse la formation ?

Profils concernés

  • Consultants indépendants qui veulent générer plus de clients sans publicité.
  • Commerciaux B2B cherchant des méthodes modernes pour remplacer le cold calling.
  • Dirigeants souhaitant améliorer leur visibilité et leur attractivité sur LinkedIn.
  • Formateurs, coachs, thérapeutes : besoin d’apparaître crédibles dans un marché saturé.
  • Entrepreneurs : besoin de visibilité rapide pour accélérer le développement.
  • PME/ETI : structurer l’approche commerciale numérique de leurs équipes.
  • Solopreneurs : clarifier leur positionnement pour attirer naturellement les bons clients.

Modalités et financement

  • Inscription via formulaire ou échange préalable pour valider les besoins.
  • Sessions individuelles pour un accompagnement 100 % personnalisé.
  • Sessions groupe pour entreprises ou équipes commerciales.
  • Documents fournis : supports PDF, modèles, checklists, templates, exemples de messages.
  • Suivi possible après la formation selon option choisie.

Le moment idéal pour se former

  • Lors d’un lancement d’activité : pose des bases commerciales.
  • Lors d’un repositionnement : clarifier le message et attirer une nouvelle audience.
  • Lorsque la prospection traditionnelle s’essouffle : peu de réponses, taux de refus élevé.
  • Quand la visibilité chute : posts qui ne fonctionnent plus, baisse des demandes entrantes.
  • Avant une nouvelle offre : préparer le terrain avec du contenu utile et cohérent.

Avis & retours

Témoignages

  • Participants rapportant une explosion de visibilité après optimisation du profil.
  • Consultants ayant signé des clients grâce aux nouvelles approches de messages.
  • Dirigeants ayant trouvé une cohérence claire entre leur profil et leur discours commercial.
  • Feedback récurrent : pédagogie simple, directe, utile, immédiatement applicable.
  • Mise en avant de la bienveillance et de la précision dans les corrections.

Points forts & limites de la formation social selling de E. Petiau

Points forts

  • Approche pragmatique basée sur des cas réels.
  • Grande expertise LinkedIn.
  • Accompagnement personnalisé sur le profil et la prospection.
  • Méthode claire, structurée, facile à appliquer.
  • Résultats mesurables et rapides.
  • Adaptation à tous les secteurs B2B.

Limites

  • Nécessite régularité et discipline pour obtenir de vrais résultats.
  • Demande un profil LinkedIn déjà créé et un minimum actif.
  • Contenu dense : demande de la disponibilité mentale.
  • Les résultats dépendent de votre engagement dans le contenu et la prospection.

Maximiser son investissement

Actions immédiates après la formation

  • Refaire entièrement votre profil sous 48 h : accroche, infos, expériences.
  • Préparer une bibliothèque de contenus : 10 posts prêts d’avance pour éviter le blocage.
  • Ajouter 20–30 connexions qualifiées par semaine.
  • Interagir quotidiennement avec votre réseau pour augmenter la portée de vos posts.
  • Définir un créneau fixe pour la prospection : 20 min par jour minimum.

Optimisation continue

  • Analyse hebdomadaire du SSI : identifier les axes d’amélioration.
  • Étude des posts performants : comprendre pourquoi ils marchent.
  • Ajustement constant de la ligne éditoriale.
  • Test de nouveaux formats : carrousels, vidéos courtes, analyses.
  • Réécriture régulière de vos messages privés pour augmenter le taux de réponse.

Passage à l’échelle

  • Partager la méthode à votre équipe : cohérence entre les profils et les messages.
  • Créer une charte interne LinkedIn : ton, style, fréquence, objectifs.
  • Co-création de contenus : implication de plusieurs membres pour plus d’impact.
  • Mise en place d’un calendrier partagé : posts collaboratifs, relais de publications.
  • Suivi mensuel des résultats par un référent ou un manager.

Conclusion

  • Formation complète, opérationnelle, et orientée résultats.
  • Convient à tous les professionnels souhaitant gagner en visibilité et en clients sur LinkedIn.
  • Méthode structurée, claire, immédiatement applicable.
  • Retour sur investissement rapide si vous appliquez les routines apprises.

Written by admin@upmanage · Categorized: Marketing Digital

Sep 13 2025

Le closing c’est quoi ? Le guide complet.


En fait Le closing c’est quoi ?

Définition du closing et son importance

Définition simple et claire

  • Le closing est un échange avec un prospect connaissant quasiment les caractéristiques, les bénéfices de l’offre qui doit conclure sur la vente.
  • Le closing n’est pas un rdv de signature de contrat, sinon, cela s’appellerait rdv adminitratif de vente! Alors le closing c’est quoi : Le prospect est alors accompagné jusqu’à sa décision finale pendant ce rdv, et notamment aider le prospect à lever les derniers points de blocages.
  • Un vente dite traditionnelle sera plus apparentée à une présentation de l’offre.

Pourquoi le closing est central en business ?

  • Impact direct sur le chiffre d’affaires : un bon closer transforme les opportunités en revenus.
  • Sans closing, la prospection = perte d’énergie.
  • Exemple concret : deux vendeurs avec le même nombre de leads → celui qui sait closer génère X fois plus de revenus.

Les fondements du closing

Les compétences humaines essentielles

  • Écoute active : comprendre les non-dits et les vraies objections.
  • Empathie : établir une relation de confiance.
  • Gestion du stress et du silence : savoir attendre la réponse du client.

Les compétences techniques

  • Frameworks : AIDA, SPIN Selling, SONCAS.
  • Scripts de vente : comment les utiliser comme guide et pas comme texte figé.
  • Questions stratégiques : poser les bonnes questions au bon moment.
  • Élément visuel : tableau comparatif des méthodes de closing (AIDA vs SONCAS vs SPIN).

La psychologie derrière le closing

  • Biais cognitifs : rareté, autorité, preuve sociale.
  • Adapter son discours selon le type de prospect (rationnel, émotionnel, pressé).
  • Encadré : exemples de phrases de transition efficaces (“Et si on passait à l’étape suivante ?”).

Les techniques de closing les plus efficaces

Les techniques classiques

  • Closing par alternative : proposer 2 choix gagnants.
  • Closing par bénéfice : mettre en avant le résultat immédiat.
  • Closing par urgence : jouer sur la rareté et le temps limité.

Les techniques modernes adaptées au digital

  • Closing à distance : visio, téléphone.
  • Adaptation aux infopreneurs et coachs : focus sur le « high ticket closing ».
  • Automatisation partielle : intégration avec CRM et outils marketing.

Les erreurs à éviter absolument

  • Forcer la main au client → effet contre-productif.
  • Réciter un script sans adaptation → manque d’authenticité.
  • Oublier la phase post-closing (suivi, fidélisation).

Les métiers liés au closing

Le métier de closer

  • Rôle précis : prendre en main les prospects qualifiés (pas de prospection).
  • Travail surtout en freelance mais aussi salarié (startups, agences).
  • Secteurs porteurs : coaching, e-learning, immobilier, assurances, luxe.

Évolution professionnelle d’un closer

  • Junior → closer confirmé → closer expert high ticket.
  • Perspectives : management d’équipe, formateur, consultant.
  • Opportunité de spécialisation : B2B vs B2C.

Les étapes pour maîtriser le closing

Étape 1 : Comprendre les bases de la vente

  • Lire des ouvrages de référence (Cialdini, Brian Tracy).
  • Observer des closers expérimentés.
  • Ressources externes : liste de livres incontournables avec liens Amazon.

Étape 2 : Se former au closing

  • Formations spécialisées (LiveMentor, écoles de vente).
  • Ateliers pratiques et roleplays.
  • Importance du mentorat et des feedbacks.

Étape 3 : Pratiquer et s’améliorer en continu

  • Suivi de ses KPIs : taux de conversion, panier moyen.
  • Revoir ses appels pour identifier les points à améliorer.
  • Mise en situation régulière avec pairs.
  • Élément visuel : modèle de tableau Excel/Notion pour suivre ses performances.

Closing et rémunération : combien gagne un closer ?

Rémunération d’un closer salarié

  • Débutant : 2 000 à 3 000 € brut/mois.
  • Confirmé : 4 000 à 6 000 € brut/mois.
  • Part importante de commissions.

Rémunération d’un closer indépendant

  • Très variable selon résultats :
    • Débutant : 500–2 000 €/mois.
    • Confirmé : 5 000–10 000 €/mois.
  • Exemple de calcul : 15 % de commission sur une vente à 5 000 € = 750 €.
  • Graphique : évolution des revenus d’un closer junior → senior.

Facteurs qui influencent le salaire

  • Secteur choisi (formation, immobilier, luxe).
  • Expérience et réputation.
  • Taux de conversion moyen.
  • Encadré : calcul détaillé d’une commission sur plusieurs ventes.

Conseils pratiques pour réussir en closing

Construire sa crédibilité

  • Profil LinkedIn optimisé (photo, bio, témoignages).
  • Créer du contenu pour démontrer son expertise (posts, articles).
  • Collecter des avis clients dès le départ.

Les outils du closer moderne

  • CRM (HubSpot, Pipedrive).
  • Outils de visio (Zoom, Google Meet).
  • Scripts personnalisables.

Ressources pour progresser

  • Podcasts (Close.io, Marketing Mania).
  • Communautés Facebook/Slack de closers.
  • Formations avancées en vente.

Conclusion : le closing, un art plus qu’une technique

  • Résumé : le closing = combinaison d’écoute, psychologie et technique.
  • Un métier d’avenir dans l’ère digitale.
  • Invitation à tester ses premières techniques dès aujourd’hui.
  • CTA final : proposer un guide gratuit “10 techniques de closing à tester”.

Written by admin@upmanage · Categorized: Marketing Digital

Sep 11 2025

Comment devenir copywriter : guide complet pour réussir.

Comprendre le métier de copywriter

Être ou comment devenir copywriter.

Qu’est-ce qu’un copywriter ?

  • Définition : expliquer que le copywriting est l’art d’écrire pour inciter à l’action (achat, inscription, clic).
  • Distinction avec la rédaction web :
    • Rédacteur web → informer, améliorer le SEO.
    • Copywriter → convaincre, vendre.
  • Exemple concret : différence entre un article de blog informatif et une page de vente optimisée.

Pourquoi le copywriting est un métier d’avenir ?

  • Tendance : explosion du e-commerce, de la formation en ligne, de l’infopreneuriat → demande accrue de copywriters.
  • Valeur ajoutée : dans un monde saturé de contenus, un bon texte persuasif devient un levier business essentiel.
  • Opportunités multiples : travailler en freelance, rejoindre une agence marketing, intégrer un service communication.

Les compétences clés pour devenir copywriter performant

Les soft skills essentielles

  • Empathie : comprendre le client et se mettre à la place du prospect.
  • Curiosité : explorer différents univers (santé, finance, éducation…) pour adapter ses textes.
  • Créativité et discipline : produire des textes accrocheurs, même avec des contraintes.
  • Résilience : accepter les retours clients et réécrire sans ego.

Les compétences techniques à maîtriser

  • Connaissance des frameworks : AIDA (Attention, Intérêt, Désir, Action), PAS (Problème, Agitation, Solution).
  • Storytelling : savoir captiver avec des récits.
  • SEO : écrire des textes optimisés qui se positionnent sur Google.
  • Outils pratiques : Notion (organisation), Grammarly/Antidote (correction), Copy.ai/ChatGPT (inspiration IA).

L’importance de la psychologie et du marketing

  • Biais cognitifs : rareté, preuve sociale, autorité → comment les utiliser éthiquement.
  • Compréhension du client idéal (persona) : rédiger un message qui résonne avec ses besoins.
  • Adapter son ton : B2B (sérieux, chiffres) vs B2C (émotions, proximité).

Les étapes pour devenir copywriter

Étape 1 : Se former aux bases

  • Se documenter : livres de référence (Gary Halbert, David Ogilvy, Cialdini).
  • Formations : LiveMentor, Copywriting Club, ou cursus académiques.
  • Exercices pratiques : réécrire des pubs connues, analyser les emails marketing qu’on reçoit.

Étape 2 : Pratiquer et construire un portfolio

  • Commencer petit : écrire des newsletters, des posts LinkedIn, des descriptions produits.
  • Portfolio : regrouper les meilleurs textes (même fictifs).
  • Importance de la mise en forme : portfolio visuel en ligne (Behance, Notion, site perso).

Étape 3 : Trouver ses premières missions

  • Plateformes freelances : Upwork, Fiverr, Malt.
  • Prospection LinkedIn : stratégie pour contacter coachs, e-commerçants, infopreneurs.
  • Travailler gratuitement au début ? : expliquer quand c’est pertinent (témoignage en échange).
  • Tableau comparatif : plateformes → avantages/inconvénients (prix, concurrence, visibilité).

Étape 4 : Évoluer et se spécialiser

  • Se positionner : copywriter e-commerce, spécialisé email marketing, B2B SaaS.
  • Augmenter ses tarifs : passer d’un tarif au mot/jour → tarif basé sur la valeur créée.
  • Étendre ses services : consulting en stratégie marketing, formation en copywriting.
  • Étude de cas : parcours d’un copywriter débutant devenu expert “high ticket”.

Rémunération et perspectives du métier de copywriter

Combien gagne un copywriter débutant ?

  • Salarié junior : ~25–30k €/an.
  • Freelance : 200–400 €/mission courte (post, email).
  • Importance des premiers témoignages clients pour crédibiliser ses tarifs.
  • Graphique : “Évolution revenus d’un copywriter débutant → confirmé”.

Rémunération d’un copywriter confirmé

  • Freelance : 300–500 €/jour → jusqu’à 5–10k €/mois.
  • Salarié senior : 40–60k €/an.
  • Campagnes haut de gamme : rémunération à la performance, parfois >10k €/mission.

Facteurs qui influencent la rémunération

  • Niche choisie : finance, santé, immobilier = plus rémunérateurs.
  • Expérience prouvée : ROI mesurable des textes déjà produits.
  • Positionnement : généraliste vs expert spécialisé.

Conseils pratiques pour réussir et se démarquer

Construire sa crédibilité

  • Optimiser son LinkedIn : photo pro, bio orientée bénéfices.
  • Créer du contenu : poster des tips copywriting pour montrer son expertise.
  • Collecter des avis clients dès les premières missions.

Erreurs à éviter absolument

  • Écrire sans stratégie : croire que bien écrire suffit → oublier la psychologie.
  • Casser les prix : travailler trop bas → image de “junior éternel”.
  • Copier/coller des templates sans personnalisation.

Ressources pour progresser en continu

  • Livres : “The Boron Letters” (Gary Halbert), “Breakthrough Advertising” (Schwartz).
  • Podcasts : Copywriting Club, Marketing Mania.
  • Communautés : Slack/Discord de copywriters.
  • Formation Copywriter

Conclusion : faut-il devenir copywriter aujourd’hui ?

  • Synthèse : métier accessible, mais exigeant (discipline + marketing).
  • Opportunités : forte demande, marché encore en croissance.
  • Mise en garde : pas une solution miracle, demande un vrai apprentissage.

Une reconversion ça se réfléchit, suivez le lien.

Written by admin@upmanage · Categorized: Marketing Digital

Sep 11 2025

Comment devenir closer : le guide complet pour se lancer.

Le closer est il le superman de la vente
Le closer est il le superman de la vente

Comprendre le métier de closer

Être ou comment devenir closer. Le closing est un métier uniquement dédié aux commerciaux ou s’ouvre-t-il à d’autres compétences?

Qu’est-ce qu’un closer exactement ?

  • Définition : Un closer est un professionnel de la communication qui est chargé de conclure des ventes déjà qualifiées par des équipes marketing. Il est là pour recueillir les impressions et la connaissance de l’offre du prospect. L’objectif de l’appel est de faire prendre conscience au prospect que l’offre est celle qui lui faut pour atteindre son objectif. L’échange ne tournera pas sur les caractéristiques de l’offre puisque le prospect les connait par les informations diffusées sur les réseaux sociaux, page de vente, tunnel de vente ou autres.
  • Quelle Différence avec un commercial classique :
    • Un commercial prospecte, démarche, fait du terrain. Il prendra contact avec des clients froids qui n’attendent rien et bien souvent ne connaissent pas l’offre du commercial.
    • Le closer intervient en fin de cycle, à distance, par téléphone ou visio. Cela ne veut pas dire que la vente est plus simple mais les compétences demandées seront différentes.
    • Le prospect aura besoin de passer par un closer pour bien souvent connaitre le prix et être rassuré sur le bien fondé de l’offre étant donné que celle-ci et très souvent dématérialisée.
  • Contexte digital : la demande de closer est en croissance. L’écosystème de l’infopreneuriat, est aujourd’hui un marché en constante évolution.
  • Si vous souhaitez visualiser la position du closer, il se situera en bas de l’entonnoir.

Pourquoi ce métier attire autant aujourd’hui ?

  • Tendance : les formations en ligne, le coaching ont explosées depuis la période COVID. A cette époque quelques soient la formation, l’accompagnement, les ventes s’effectuaient facilement en ligne. Depuis peu, à force d’être déçu par certaines offres, le client est de plus en plus méfiant et exigent, quitte à payer plus cher voir beaucoup plus cher mais il veut du résultat!
  • Avantages perçus : les revenus annoncés sont attractifs grâce aux commissions (même sans diplôme), liberté géographique, télétravail. Ce métier s’effectue également en freelance et séduit de plus en plus de candidats de part cette liberté d’emploi du temps.
  • Contraintes : le métier reste un métier de vente et souvent payé 100% à la commission. Pas de vente pas de salaire. Contrairement à certains infopreneurs qui se sont jetés sur ce créneau et vous vendent un métier facile d’accès bien payé en quelques heures, la réalité est tout autre. La pression sur les résultats est bien réelle, dépendance aux leads fournis, rythme parfois intense (appels en soirée/week-end).

Les compétences clés pour devenir closer performant

Ce métier dans la vente ouvre les portes aux non commerciaux : il ne suffit pas d’accrocher le client avec le sourire et de lui déballer les caractéristiques de l’offre en dénigrant la concurrence!

Les soft skills indispensables

  • Écoute active : capter les besoins réels derrière les mots est essentiel. Etre assertif est la base de la communication : pas d’interprétation et les intentions du prospects doivent être clairement connu. Il faut donc pouvoir rentrer en communication rapidement et donner confiance à son futur client.
  • Empathie : Créer un lien humain pour instaurer la confiance sans en faire de trop est un point crucial. Si le prospect ne sent pas de confiance il partira de lui même. Rappelez-vous le closer travaille en visio ou par téléphone.
  • Intelligence émotionnelle : La gestion de ses émotions et celles du prospect doit être pris en compte. Vos croyances ne sont pas celles de votre prospect. Les siennes doivent être entendus et non jugées.
  • Résilience : On parle d’un taux de closing, la qualité des leads peut être mauvaise et d’enchainer, il fait pouvoir l’accepter et garder sa motivation.

Les compétences techniques

  • Appréhender le Scripts de vente : Le script de vente est la trame du closer. Le closer doit avoir toue de même la capacité à personnaliser selon chaque prospect.
  • Closing call : déroulé typique d’un appel (découverte → objections → conclusion).
  • CRM et outils digitaux : L’utilisation de CRM est un incontournable afin de suivre les no-show, les R1, les R2.
  • Persuasion éthique : Le closer doit détenir une éthique afin d’identifier si le prospect est réellement l’avatar de l’offre. Il ne doit pas tomber dans la manipulation.

L’importance de la formation continue

L’analyse de ses propres calls est une base pour progresser. Une montée en compétences continuelles fera que votre niveau restera dans le TOP du closing

  • Formations spécialisées : ex. MasterClass de closers connus, LiveMentor, etc.
  • Mentorat : apprendre auprès de closers expérimentés.
  • Ressources autonomes : podcasts, conférences, lectures (ex. “The Psychology of Selling” de Brian Tracy).

Les étapes pour comment devenir closer

Étape 1 : Découvrir et valider son intérêt pour le métier

  • Faire une auto-évaluation (plaisir de convaincre, goût pour l’échange).
  • Se tester : faire des simulations de vente entre amis ou via plateformes de formation.

Étape 2 : Se former et pratiquer

  • Suivre une formation sérieuse (éviter les promesses “miracle” → valoriser la crédibilité).
  • Importance de la pratique : jeux de rôle, mise en situation filmée.
  • Trouver un mentor ou un groupe de pratique (Discord, Slack).

Étape 3 : Trouver ses premières missions

  • Passer par des plateformes spécialisées (Malt, Upwork, Indeed, mais aussi réseaux de coachs).
  • Utiliser LinkedIn pour décrocher ses premières opportunités.
  • Approcher directement des infopreneurs : proposition de tester gratuitement contre témoignage.

Étape 4 : Évoluer vers l’expertise

  • Devenir closer senior : gérer des offres à 5-10k€.
  • Monter une équipe de closers ou se spécialiser (high ticket closing).
  • Diversifier vers la formation ou le consulting.

Débouchés et rémunération d’un closer

Quels sont les secteurs qui recrutent ?

  • Infopreneurs, coachs business/fitness/développement personnel.
  • Agences de marketing digital.
  • Immobilier haut de gamme, assurances, services premium.
  • Expliquer la logique : tous les business où le panier moyen est élevé.

Combien gagne réellement un closer ?

  • Fourchette débutant : 1 500 – 2 500 €/mois.
  • Confirmé : 4 000 – 6 000 €/mois.
  • High ticket : 10k et + si volume suffisant.
  • Bien préciser que les revenus sont variables, basés sur commissions.

Statut et conditions de travail

  • Freelance : autonomie mais incertitude.
  • Salarié : stabilité, mais moins de commissions.
  • Micro-entrepreneur : régime prisé pour démarrer.
  • Horaires flexibles mais dépendants des clients (souvent soir/week-end).

Conseils pratiques pour réussir et se démarquer

Construire sa crédibilité dès le départ

  • Profil LinkedIn optimisé (photo pro, bio orientée closing).
  • Créer du contenu (post LinkedIn sur la vente, témoignages).
  • Recueillir rapidement des avis clients, même pour des missions gratuites.

Erreurs à éviter quand on débute

  • Vouloir vendre à tout prix → casse la confiance.
  • Suivre un script mot pour mot sans s’adapter.
  • Négliger le suivi post-appel (relances).
  • Élément non textuel : encadré “Les 5 erreurs fatales du débutant”.

Les meilleures ressources pour progresser en continu

  • Livres : “Spin Selling” (Neil Rackham), “The Challenger Sale”.
  • Formations en ligne : LiveMentor, Closer Evolution.
  • Communautés : groupes Facebook, Slack, Discord.
  • Chaine You tube

Conclusion : faut-il se lancer dans le closing aujourd’hui ?

  • Synthèse : opportunité réelle mais exigeante.
  • Insister : ce n’est pas un métier “facile”, c’est une compétence hautement valorisée.
  • Encouragement : se lancer maintenant permet d’entrer sur un marché en croissance.

L’idéal est de faire le point sur ses compétences.

Written by Arnaud Lalande · Categorized: Marketing Digital

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